Autodidacte, j'ai commencé en 2008 par le travail du métal en utilisant différentes techniques (fer forgé, sculpture au chalumeau, métal embouti).
En 2020, j'ai découvert le travail de la céramique. Ayant eu la chance de bénéficier des précieux conseils et soutien de créateurs confirmés comme la céramiste Marianne Succord, j'ai peu à peu, au gré de mes réalisations mélangé ces deux matières.
Mes principales sources d'inspiration étant l’humain et la nature, la céramique (Raku, terres brutes, terres mêlées …) me permet d'apporter à mes créations des variations de couleur, de textures et des motifs supplémentaires.
La série "Cocons" met en scène dans des Lampes Sculptures, des structures en métal forgé et végétalisé associé à des cocons imaginaires en céramique émaillée Raku.
La série "Au fil du temps" est un ensemble de sculptures dédiées à la nature, avec des clins d’œil à des artistes et auteurs associés à mon imaginaire tels que : Escher, Druillet, Tolkien et tant d’autres …
Artiste Autodidacte, je vis à VILLEY LE SEC. Je peins depuis une vingtaine d’années pendant mon temps libre. Ayant grandi dans une famille de peintre, la peinture était pour moi une évidence. J’ai essayé plusieurs techniques, pastels secs, acrylique, aquarelle mais c’est avec la peinture à l’huile que je m’épanouie le plus.
Entre réalisme et art naïf, mes peintures invitent au voyage en usant de couleurs vives. Je puise mon imagination en m’inspirant d’animaux, de paysages exotiques, de portraits expressifs que j’adapte selon mes envies, mes émotions de l’instant. C’est pour moi une façon de me libérer et de rêver.
J’ai découvert le travail de la terre il y a environ une quinzaine d’années.
Très vite, j’ai été attiré par le tournage et la passion ne m’a plus quittée.
Je réalise mes pièces à la suite d’une simple idée ou l‘envie de tester une nouvelle technique :
Le craquelé, l’assemblage de pièces simples pour former des structures complexes, le travail de l‘engobe (terre à l’état de crème liquide) ou la terre en poudre, le traitement de surface avec les oxydes, les colorants, et d’autres techniques.
Créer des pièces qui questionnent, font sourire ou encore provoquent une discussion, mais surtout prendre plaisir à les faire vivre.
Autodidacte, c'est le domaine de l'impression qui, dans un premier temps, m'a permis de développer un univers à la fois poétique et symbolique sur le thème de l'enfance.
Plus récemment, en complément de mon activité de graveur, j'ai eu l'envie de créer mon atelier de céramique afin de retranscrire cet univers et ce graphisme sur du volume.
Théière, assiettes, objets décoratifs... sont autant de supports sur lesquels je m'applique à décliner ce graphisme afin de créer un univers complet.
Pour créer mes images, j'utilise un processus d'impression non reproductible appelé monotype ; il s'agit de peindre en négatif sur une matrice puis de l'imprimer afin de transférer l'image créé au papier. La matrice n’étant pas gravée, son tirage est donc unique. Ces images me servent ensuite à décorer mes céramiques en faïence ; sur une forme conçue et réalisée par mes soins, je décore à la main à l'aide d'oxydes ma céramique avant de l'émailler et de la cuire.
Denis HILT, infographiste indépendant depuis plus de 10 ans, autodidacte dans le domaine de la sculpture et toujours passionné de dessins et d’art en général, a débuté sa carrière de sculpteur en parallèle à son entreprise après avoir découvert les ateliers et carrières de marbre de Carrare en Toscane (Italie).
Le marbre, cette matière noble, très agréable à travailler, n’est cependant pas la plus facile des matières à gérer à Metz, loin des ateliers Italiens.
C’est pourquoi, pour continuer à s’exprimer sans contrainte, l’artiste c’est dirigé vers le modelage de la terre et les techniques de la céramique, plus particulièrement par celle du RAKU (art Japonais) qui rajoute une note originale à ces créations.
Le domaine de prédilection de Denis HILT : la nature revue sous une forme poétique, naïve, personnifiée.
L’artiste consacre également beaucoup de temps au dessin : remplissage de carnets d’esquisse, d’idées nouvelles et nouveaux projets sous des formes qui lui sont encore totalement inconnues. Je réalise des sculptures d’oiseaux simples ou personnifiées et de formes végétales ou animales très diverses : champignons, arbres en céramique avec un accompagnement de branches en verres, animaux de l’escargot à la baleine en passant par l’hippopotame.
La pratique du dessin et de la peinture a commencé très tôt, au fil des réalisations et après l’obtention d’un DNAP à l’Ecole des Beaux-Arts de Nancy, je me suis installé en tant que Graphiste-illustrateur free-lance.
La peinture est devenue une spécificité en parallèle à mon activité de designer graphique et j’ai ainsi produit quantité de travaux notamment sur le thème de l’aviation, mon domaine de prédilection.
La peinture sur commande est devenue une activité importante dans le cadre de mon travail.
En 2010 et 2014 j’ai rassemblé toutes ces peintures aéronautiques puis en ai produit de nouvelles pour réaliser deux Artbooks en auto-édition, Airplane Spirits 1 et Airplane Spirits 2. Ce travail fut l’occasion pour moi de fondre mes deux activités, la peinture et la PAO (publication assistée par ordinateur), en un seul produit et par le fait d’apprendre par la suite à le diffuser.
Ce fut l’occasion de fréquenter les meetings, musées et autres manifestations aériennes et spatiales : La Ferté-Alais, Le salon du Bourget, le Festival des Etoiles et des Ailes de Toulouse, la BA 133 NancyOchey…
Par la suite, je me suis ouvert à d’autres thématiques telles que l’automobile, les paysages et autres sujets, et ce afin d’ouvrir mon travail et de rencontrer un autre public.
Younoussa TRAORE, né le 12 décembre 1985, d'ethnie Dogon, du village de Oualo région de Douentza au Mali. A l’âge de 5 ans mes parents m’ont envoyé chez ma grand-mère, dans le village natal de ma mère, un petit village au nord de la falaise Dogon « Siba ».
Déjà, à cette époque, j'aimais beaucoup créer et bidouiller. Dès l’âge de 7 ans, j'ai commencé à graver des motifs traditionnels ancestraux Dogon sur des calebasses, sur des graines de Baobab utilisées comme instrument de musique, sur des grands bols en bois et sur des ustensiles servant à la décoration des maisons en terre.
Au fur et à mesure, j'ai développé et aimé la création inspirée de ma culture Dogon. Mon activité est alors devenue une passion et un moyen de gagner un peu d'argent pour mon marabout et moi, même.
En 2000 à la fin de mon adolescence, j'ai quitté mon marabout pour retourner vivre dans mon village natal.
En 2002 j'ai rencontré Gérald Vatrin maître verrier à Nancy, venu visiter mon Village de Oualo.
Je l’ai invité chez nous dans notre famille et nous avons sympathisé, depuis lors, nous sommes toujours restés en contact et notre amitié est née. Huit ans plus tard, en 2011, Gérald m’a invité en France pour travailler ensemble. C'est ainsi que, j'ai découvert le soufflage et le monde artistique du verre et que je suis devenu son
assistant.
J’ai alors développé un travail personnel en tant qu’Artiste verrier & peintre. Ainsi, j’ai pu apprendre le soufflage à la canne, la gravure, et développer mes propres créations en verre.
Mon travail artistique de gravure est inspiré par mes origines Dogon du Mali ; mes pièces représentent des motifs finement gravés dit Cémére en Dogon. Des graphismes sont inspirés par les paysages de montagne, nuage, falaise de ma région de Douentza, mais aussi des monolithes et des autels des sacrifices présents dans chaque village.
Le travail manuel a toujours été pour moi un besoin. J'aime bricoler, réparer et créer de mes propres mains.
Suite à des retrouvailles avec mon cousin qui crée des fleurs en métal pour le jardin (JMB ART), j’ai eu très envie de me tester sur ce terrain.
Pour moi, les métaux, le bois et la pierre sont des matières nobles qui s'associent très bien et reflètent à travers mes créations les richesses que la terre peut nous apporter dans le monde floral.
J'aime combiner différents métaux pour créer des teintes variées où le soleil peut s'y refléter avec de beaux effets.
Après mes études, j’ai eu l’occasion de travailler sur des projets de recherche en design autour de la vannerie. Je dessinais des pièces en osier qui étaient réalisées par des artisans vanniers professionnels. C’est suite aux périodes de fabrication des pièces et aux échanges avec les artisans, que j’ai décidé de me former à ce savoir-faire ancestral et de fabriquer mes propres créations.
Pendant la guerre d’Algérie, mon grand-père a été rapatrié parce qu’il était blessé. Il est arrivé dans un hôpital. Ses jambes ont été rééduquées grâce au travail d’une jeune ergothérapeute. Voulant passer un peu plus de temps avec le malade, l’ergothérapeute lui a proposé de lui apprendre la vannerie. Enchanté il accepta ! Mais c’est bien plus tard, juste avant qu’il ne se marie, que ma grand-mère apprit qu’il avait fait de la vannerie toute son enfance dans la ferme de ses parents en Haute Saône !
Certaines de mes pièces sont en up-cycling (vases), les autres sont réalisées avec une grande majorité de matière naturelle (osier) et avec des composants additionnels fabriqués en France ou en Italie.
J’ai envie de partager mon amour pour cette matière, pour les formes qu’il est possible de créer avec. J’ai envie de participer à la vie de cet artisanat, de ce savoir-faire ancestral. La vannerie se trouve dans le monde entier, j’aimerais participer à la vie des techniques que l’on trouve dans ma région d’origine
Artiste franco-allemande née à Lage - Lippe en Allemagne et vivant à Nancy depuis une dizaine d’années.
Influencé par l’écologie et la notion de recyclage des livres, je mets en scène des matériaux naturels tels que le papier, le bois, le tissu en contournant leurs usages.
Je n'utilise pas de substances nocives. Pour mes créations, je n'utilise que des livres qui ne sont plus en état.
Avec un accent sur les livres plus anciens.
Après la transformation, mes créations portent le nom du livre, et le nom de l'auteur.
L'édition est également mentionnée. Les livres existent maintenant sous une nouvelle forme.
Les colliers, bracelets, boucles d’oreilles deviennent des objets iconiques qui s’inscrivent dans une nouvelle approche du bijou où texture, forme et légèreté imposent un rythme original et atypique.
La terre entre les mains est un fil conducteur dans ma vie et ce sont des argiles brutes, cuites à haute température, blanches ou noires que j’affectionne particulièrement. Modeler les grès noirs, dont le fer et le manganèse révèlent des palettes des bruns aux noirs profonds, et dont la texture attire la main pour être effleurée.
Au-delà de la recherche de l’esthétisme et de la création artistique, au-delà du travail sur les formes et les matériaux, je cherche avant tout à faire naître l’émotion. L’émotion chez le spectateur, qui, laissant libre cours à son imagination réinvente l’œuvre qui m’échappe alors
LE MÉLANGE DES MATIÈRES : LE CUIR, VERRE, BOIS, METAL
ZEC est née il y a bien longtemps avec l’envie de création simple, épurée, mais avec ce détail qui fait l’originalité.
Mon travail est basé sur une recherche perpétuelle de cuir de veau ou chèvre européen uniquement, qui correspond à ce que je souhaite réaliser. Mes créations partent donc toujours de mon imagination. Les fermoirs sont travaillés, aimantés et anti-allergènes. Les boucles d’oreilles et les bagues sont composées de différents matériaux entremêlés pour aboutir à une création simple mais originale.
Attirée depuis l’enfance par les pratiques artistiques et manuelles, j’ai fondé Bruits de Terres Céramiques en 2019.
Le choix de la porcelaine s’est imposé par sa blancheur et sa translucidité. C’est là précisément que s’affine notre rapport à l’objet : la limite entre l’intérieur et l’extérieur est toujours présente mais devient presque impalpable, dans un subtil jeu d’aller-retour.
Cette terre me conduit à privilégier le travail des volumes et des matières, limitant l’utilisation des émaux transparents aux effets de contraste brut/brillant/satiné. Les décors sont souvent obtenus par empreinte, puis révélés par la lumière.
Je vous propose de petits objets poétiques, parfois utilitaires, souvent artistiques, porteurs de mon intimité avec la terre.
Installé dans l’atelier familiale depuis plus de 35ans, Laurent Louis Joaillier créé des bijoux uniques sur mesure.
Passionné par les Opales et les perles de Tahiti, il s’inspire notamment de l’art nouveau et créé en partie un grand nombre de pièce style Ecole de Nancy, mais il fabrique également des bijoux et collections d’autres styles comme des bijoux art déco et contemporain. Expert en joaillerie, il utilise les procédés de fabrications ancestrales traditionnels (sculpture en cire perdue, travail du métal à la main…) mais également les techniques les plus modernes.
Mes peintures sont très colorées, j’aime beaucoup utiliser les couleurs dominantes dans mes créations. Quand je peins, je donne beaucoup de force dans mes peintures, le geste est rapide et la couleur me permet justement de donner cette impression d’énergie du trait. Je m’intéresse aussi à de vieux meubles, je les restaure, les transforme parfois et les décore avec des ajouts de mosaïque et autres objets insolites chinés chez Emmaus.
Acheter chez Emmaus, c’est ma manière de contribuer à un mouvement de solidarité et d’aider une partie de la population en marge de la société.
A travers mes « Mondes », je vous livre le mien : enchevêtré, hétéroclite et disparate. Un monde où les repères sont délibérément galvaudés, les perspectives vaillamment malmenées et les messages résolument détournés.
La dérision et l'irrationnel organisent mes gestes et mes choix vers des compositions arlequines, pathétiques et souvent insolentes.
Ma technique de découpage puis de collage de petites – voire de minuscules- parcelles d'images n'est sans doute pas étrangère à ma passion pour les « obscurs » et géniaux représentants de l'Art Brut.
Modestie du matériau, saturation de l'espace, dilatation du temps...
Attirée par la décoration et le travail manuel, c’est après une année en Master art et industrie culturelle que l’intérêt de Madeleine Mangin s’est porté sur la tapisserie d’ameublement.Soucieuse de perpétuer le métier de son grand-père, tapissier-bourrelier, les formations en CAP et Bac Professionnel à Neufchâteau et Liffol-le-Grand, les nombreuses expériences professionnelles, ainsi qu’une formation concepteur-créateur à Vannes-le-Châtel, auprès de maîtres artisans d’art chevronnés, lui ont permis l’apprentissage des savoir-faire traditionnels et modernes, afin d’osciller entre la préservation du patrimoine et la création contemporaine.
La terre est mère et matière. Au-delà de sa douceur au toucher, y sont enfouis bien des mystères, source de rêves et voyages.
Depuis presque 30 ans, je la pétris, la modèle, la coule en moules de plâtre pour obtenir la forme. C’est ensuite que je l’ajoure minutieusement.
Je crée mes lampes d’ambiance en céramique pour qu’elles inondent vos espaces de vie d’une atmosphère réconfortante et propice à la détente.